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C’est en m’intéressant à l’économie circulaire que j’ai compris certains aspects du monde qui nous entourent.
Nous, les hommes, nous sommes en train d’épuiser la Terre et ses ressources avec.
Jacques CHIRAC a dit lors du Sommet de la Terre à Johannesburg en 2002 : « La maison brûle et nous regardons ailleurs. »
C’était en 2002 et maintenant ?
- D’accord, nous prônons les énergies renouvelables, des éoliennes ont poussé un peu partout sur le territoire et les EMR se mettent en place.
- D’accord la voiture électrique est arrivée et commence à être commercialisée (avec quelle énergie électrique ?).
J’ai l’impression que la maison brûle toujours mais que nous ne sentons pas cette odeur de brûler. Un peu à l’image de ce gâteau que nous avons laissé trop longtemps dans le four, il brûle et se consume doucement dans le four et nous, nous sommes assis à côté dans le salon. Les odeurs de brûlé nous parviennent lentement jusqu’aux narines (ce sont l’équivalent des signes que nous envoie la planète : ouragans plus fréquents, inondations, dérèglement climatique, raz de marée, etc…), ils s’installent si lentement que nous ne réagissons pas. Les signaux d’alerte sont trop faibles. Et c’est lorsque finalement la cuisine est envahie d’un épais brouillard de fumée que nous nous réveillons. Et là, le gâteau, nous avons beau essayer de le sortir du four rapidement, de le mettre sur le balcon. C’est trop tard !
Parfois, une tierce personne entre dans la pièce et c’est cette personne qui vient de l’extérieur qui n’a pas inhalé les odeurs progressives qui va être plus réactive et sentir rapidement que quelque chose ne va pas.
Et bien l’institut de l’économie circulaire en France, c’est ça. Ils sont là pour nous lancer des signaux d’alertes mais c’est à nous de réagir ! A nous de sortir le gâteau du four avant qu’il soit complètement brûlé !
L’économie circulaire prône plusieurs bonnes pratiques pour tendre vers une annulation de notre impact sur la planète et même créer un impact positif. Selon moi, on ne monte pas un escaliers de 30 marches en une fois, on peut en revanche le monter à son rythme (sans trop trainer out de même…). Chaque marche parcourue sera un pas de plus vers un impact moindre sur la planète.
L’une des possibilités est d’arrêter d’acheter des choses que l’on utilise rarement. Alors plutôt que de les posséder et d’investir de l’argent dans ce type de bien, pourquoi ne pas les louer. Si on fait le compte des sommes liées par exemple à l’achat d’une voiture, on se rend compte que la location n’est pas si cher que cela.
Il existe en plus des sites internet maintenant qui vous permettent de louer une voiture quelques soit la ville ou vous vous trouver, Vannes ou ailleurs, à des coûts moindre entre particuliers. C’est bon pour votre portefeuille et c’est bon pour la planète !
Exemple de location de voiture sur Vannes :
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vous pouvez même louer une voiture ponctuellement si vous avez besoin d’un crochet d’attelage par exemple pour tracter une remorque, une caravane ou un porte vélos.